23H15 mardi 11 juin 2013

Les télévisions et les radios publiques grecques ont été fermées brutalement par le gouvernement. Cette interruption inattendue, sous prétexte de faire des économies, est une aberration.  La qualité du service de l’audiovisuel public, son « objectivité » dans le traitement de l’information, servent la démocratie.

Rien ne justifie donc cette décision liberticide, pas même le retour aux équilibres  budgétaires. Le gouvernement grec vend  les biens publics à des entreprises privées, suppriment des postes de fonctionnaires pour suivre les préconisations  du FMI, de la Commission Européenne et de la Banque Centrale Européenne afin de diminuer sa dette.

Mais la situation ne s’arrange pas, le remède risque fort de tuer le malade !

Restons solidaires du peuple grec.

Virginie Léonard

Remonter